Alors que le processus de nomination du futur président d'Air France-KLM tourne au vaudeville, une spécialité bien française, un rapport sénatorial nous apprend qu'Air France n'est pas le seul enfant malade du transport aérien français. Le contrôle aérien est le deuxième. Pénalisé par des investissements mal maîtrisés et qui prennent sans cesse du retard, le contrôle aérien français approche progressivement mais sûrement d'« un mur de capacités ».
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