Si aucune décision n'a encore été prise concernant des frappes aériennes italiennes contre les positions de l'Etat islamique en Irak, « tout est possible puisque Washington fait pression sur Rome pour nous impliquer davantage contre Daech », a déclaré à « Air & Cosmos » un officier supérieur de l'Aeronautica Militare Italiana (AMI). « Mais, ce n'est pas demain que vous verrez des Tornado ita- liens partir en mission de combat contre les djihadistes. » Car le gouvernement Renzi doit au préalable obtenir le feu vert du Parlement, où les non-interventionnistes sont nombreux.
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