Il y a deux ans, nous avons réalisé une enquête auprès de nos membres. Les résultats étaient dans l'ensemble positifs. Les publications, l'offre de formation et le travail dans les commissions ont par exemple été bien notés. Ce résultat nous a bien sûr réjoui. Ce qui nous intéressait toutefois était de savoir quels étaient les points plus critiques. Car de telles enquêtes ont pour but de mesurer la satisfaction et de fournir de précieuses informations sur la façon de s'améliorer. De ce point de vue-là, l'enquête a aussi révélé que la représentation des intérêts sur le plan politique pouvait être intensifiée, notamment en Suisse romande, et qu'il fallait une communication plus active. L'un des souhaits était aussi que l'AES assume un rôle plus novateur.
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