Le groupe foncier britannique Ham-merson est prêt à revoir ses habitudes pour mettre plus de sites commerciaux dans son portefeuille français. «La croissance externe est notre grande priorité du second semestre 2006», dit son directeur général pour l'Europe continentale, Gérard Devaux, qui court déjà depuis un bout de temps après des acquisitions en France. Même si le marché français est moins liquide que le britannique, la foncière, cotée à Londres et à Paris (100% de son capital), voudrait profiter davantage «d'une conjoncture exceptionnelle, c'est-à-dire d'une croissance économique continue, de frais financiers sans risques de change... » Elle fait la différence avec l'Allemagne, dont elle vient de se retirer.
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