L'heure n'est plus à la recherche de plus d'un millier de personnes pour faire face à l'augmentation des cadences. Elle est désormais à la réduction des effets de la crise de l'aéronautique civile née de la pandémie de la Covid-19. Et ces effets sont particulièrement dommageables puisqu'ils portent, potentiellement, sur la disparition de plus de 3 000 emplois sur un effectif avant crise de l'ordre de 25 000 personnes.
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