Pour Thomas Enders, coprésident d''EADS, l''année qui s''achève aura été une nouvelle "annus horribilis" qu''il préfère oublier. En effet, un simple accident industriel sur des problèmes de câblage mal maîtrisés s''est transformé en un nœud gordien inextricable qui a entraîné une grave crise financière et de gouvernance sanctionnée par une véritable valse de dirigeants. Il a fallu demander à un vétéran, un Louis Gallois-Alexandre pour trancher dans le vif et remettre Airbus dans la course.
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