Début avril au sommet de l'Otan, l'Allemagne s'est donné une mission difficile : tenter de convaincre Paris d'une participation à l'envoi d'Awacs en Afghanistan. Dur dilemme pour la France qui se verrait obligée de participer aux frais de déploiement des avions radars de l'Otan alors qu'elle possède ses propres appareils. A ceci près qu'elle n'en a que quatre, dont un en chantier de rénovation. Et quelques malicieux de suggérer une solution originale : l'envoi de E-2C Hawkeye de la Marine, condamnés à terre quelques mois pour cause d'indisponibilité, non programmée, du "Charles-de-Gaulle".
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